Oui, c’était un bon épisode et le fameux plan-séquence de 13 minutes était toute une scène. Vraiment un tour de force.
Mais…
La Clique s’attendait tellement à un bain de sang (d’après ce qu’on nous racontait), que finalement… ce n’était pas si pire que ça. À part ça, si la Clique regarde une série policière et qu’il y a une fusillade dans une école, et bien, imaginez vous donc qu’on va s’attendre à ce qu’il y ait de la violence et des coups de feu, oui oui!
Cependant, bravo à la campagne promo de Rad-Can et de la Presse ; tout ça, 2 semaines avant l’épisode. La stratégie est simple, mais efficace. On fait un épisode-choc, on montre l’épisode à Dumas, Cassivi, Petrowski et Therrien et tadam : deux papiers dans la Presse, un autre dans le Soleil, encore un autre dans la Presse aujourd’hui et des dizaines de tweets positifs.
Le pire c’est qu’après l’épisode, on en eu le culot d’en continuer la promotion et d’en parler au Téléjournal qui suivait. C’est rendu que les bulletins de nouvelles incluent un suivi des téléromans…. ça va ben! Même que ce matin Catherine Perrin à la radio invite des spécialistes des traumatismes.
Imaginez si TVA avait fait ça, tous les chroniqueurs de la Presse qui seraient grimpés dans leurs rideaux! Mais non, c’est à Rad-Can.
Commentaire inutile à m’envoyer : moi j’ai lu le post au complet sans fermer les yeux, c’est comme un plan-séquence, non?