Mais lorsque je regarde l’article… me semble que c’est pas si pire que ça!
Le passage qu’elle parle de Richard…
Commentaire inutile à m’envoyer: j’aime pas qu’on me joue dans la prostate!
Mais lorsque je regarde l’article… me semble que c’est pas si pire que ça!
Commentaire inutile à m’envoyer: j’aime pas qu’on me joue dans la prostate!
Hachey, comme La Presse, descend plus bas de jour en jour.
Richard… C’est plate, mais tu n’es pas si important que ça. Nous sommes capables de penser par nous-mêmes.
Salut Isabelle. Tais-toi, Isabelle.
C’est Québecor qui carbure aux histoires de santé de leur staff pour “créer du contenu “.
Ça doit être dur de perdre la dureté de son érection.
La gauche est revancharde et ne fait pas de quartier. La droite devrait en faire autant.
Elle ne précise pas que son chum est plus jeune que Martineau, donc statistiquement à moindre risque d’avoir un cancer de la prostate.
Les non-vax furieux du ton dégueulasse qu’utilisait Richard Martineau envers eux!
Donc, à lire cette crécelle, pas nécessaire de se faire tester ?
Ça serait drôle qu’elle se ramasse avec un cancer du sein stade 4 parce qu’elle ne croit pas aux tests préventifs !
Ti-coune.
Richard se voit toujours comme une victime, ça fait pas changement!
Un victime rejeté de la bonne gagne.
Je cherche encore ce ton si terrible…Cela dit, Richard a raison et Isabelle n’a pas tort. Mon conseil: une visite annuelle chez le médecin – quand tu en as un – c’est bien.
J’aimerais qu’on me pointe du doigt ce qu’elle a pu écrire pour le faire fâcher comme ça.
Ça fait longtemps que ces deux là se picossent par médias interposés. Faudrait les inviter à un dîner de con avec François Bubingo comme modérateur et le chef Apollo comme cook …
Le papier d’Isabelle Hachey n’a rien de dégueulasse. Elle y expose des faits scientifiques, statistiques et témoignages de médecins à l’appui.
On y explique que tous les cancers ne se dépistent pas ni ne se traitent de la même façon. Le dépistage systématique du cancer de la prostate chez les hommes de plus de 50 ans apporte plus d’inconvénients que d’avantages.
Ça rejoint ce que m’a recommandé mon médecin et, comme elle, j’ai été surpris.
Il existe plein de facteurs, au niveau individuel, qui devraient sonner l’alarme pour les hommes: génétique, histoire familliale, mictions fréquentes. L’approche à adopter en serait une du cas par cas, à l’opposé du dépistage mur à mur.
Bref, la science est souvent complexe et contre intuitive. Le texte d’Isabelle Hachey en expose les nuances.
Ce dont Martineau est totalement incapable.
Je lui souhaite quand même un prompt rétablissement.
Deux egos surdimensionnés et surtout, dont on devrait tous se câlisser.
Je ne suis certes pas fan d’Isabelle Hachey, mais elle reproduit fidèlement la position du Collège des Médecins et de l’Institut National d’Excellence en Santé et en Services Sociaux (INESSS).
L’incitation au dépistage du cancer de la prostate, comme le fait Martineau, n’est pas dénuée d’aspects négatifs, loin de là.
Bien sûr, Hachey aurait pu lever un peu le crayon dans sa description de l’expérience récente de Martineau, mais bon, l’agressivité réciproque de La Presse et Québécor ne date pas d’hier. Pour le reste, j’invite les lecteurs à lire sa chronique qui résume quand même assez bien les enjeux de ce dossier.
Hachey est une excellente journaliste. Rigoureuse, indépendante, pertinente. J’apprécie beaucoup ses articles.
Ishh, elle disait littéralement qu’il fallait se fier au passeport de « l’Algérienne » aux Olympiques pour dire qu’elle était femme, et disait que tout point de vue contraire (y compris les tests faits dans des laboratoires indépendants) était de la « propagande russe ». Voilà, le dossier est clos, Vlad était derrière tout ça. Simple de même. On repassera pour la rigueur et l’excellence.
Isabelle, t’es encore ici?
Les féministes vont sûrement revendiquer le droit à l’examen de la prostate elles aussi!
Ça s’en vient, craint pas!