Peut-être que c’est ça qu’ils ne comprennent pas!
Pierre-Luc Brillant, VP UDA, en teka… pic.twitter.com/emArn14cYs
— Pat Laliberté – La Tribune du peuple (@Pat77432407) October 11, 2024
Commentaire inutile à m’envoyer: Madonna c’est de la culture!
Notre culture est sur le respirateur depuis des décennies.
Musicalement, on est devenu de la marde sans odeur, sans saveur.
C’est complétement con de s’ennuyer de l’époque des Sinclair. Belgazou, Katleen. Pelchat, Leloup, etc… On les connait tous, on les chantes tous. Tous pourris à l’époque mais supérieur à tout ce qui fait aujourd’hui. Il ne reste que les Trois accords qui font chanter.
On peut rire aussi de Cardin, mais en v’la une qui investit vraiment pour aller aux States, je lui souhaite sincèrement bonne chance dans la pop-américaine. Elle n’a aucun avenir ici.
Le rap québécois ? Ca c’est vraiment d’la marde, d’la vraie marde
Le rap tout court est de la marde. Comme disait Céline (Louis-Ferdinand, pas l’autre) : « Le rap, c’est remplacer l’émotion aryenne par le tam-tam n*gre. »
LFC est mort en 1961, le twist n’existait pas encore, alors imagines le rap, qui n’est d’ailleurs pas d’origine africaine.
Dans la véritable citation, Céline faisait probablement référence au jazz, qui influençait tous les arts dans les années 1920 et 1930.
La musique est loin de se résumer aux “chanteurs populaires”.
Ils sont tellement bon que l’on ne les connais pas, c’est ca que tu veux dire ?
Tous de la marde sauf Bélanger. Lui il est dans une classe à part.
Ne le dit pas, il va se faire « canceller » juste pour ça.
Non, je parle du fait que la musique c’est aussi (et surtout) la musique classique, le jazz, la musique expérimentale, la musique électronique, etc.
Réduire la musique avec un grand M aux « chansons », c’est assez réducteur.
Correstion : Toutes les sortes de rap sont de la marde
Assez pas mal d’accord… J’aime bien Kanye West par exemple.
Leloup pourri ? Vraiment pas d’accord !
Facon de parler ou je l’ai échappé, je parlais de l’époque. Leloup est bon.
Tu parles surtout trop vite sans prendre le temps de mesurer tes propos.
Si c’est pour les artistes bobos comme Pénéfloppe, je préfère qu’on investisse dans la réfection d’égouts.
« Je préfère débourser 5$, incluant une tisane gratuite, pour aller voir Nafia Solin dans un trou de Limoilou! » – Monique Girouille, pour Espace Muzak à Radio-Canada
Parce que personne veut mettre 500$ pour des grateux de guitares et des crécelles sous doués du Québec !
Personne? Vous pouvez les nommer?
Les deux principaux sujets pour avoir une tribune à Radio-Canada sont le racisme systémique et l’indignation chronique.
Ta description s’applique à la radio d’opinion de Québec en passant…
Et la guerre au cisgenre blanc.
C’est certain que d’aller voir Émile Bilodeau au lieu de Madonna, c’est beaucoup, mais alors beaucoup mieux! 😂😂
Nos téteux de subventions vont toujours se plaindre malgré la médiocrité culturelle locale…
« pour voir comment cet argent-là est géré. »
Pourquoi il toujours nécessaire de s’assoir, d’organiser des états généraux, d’annoncer un forum, un colloque, un groupe de travail, des experts externes, un rapport d’audit…
Pourquoi la gestion de l’argent subventionnée n’est pas gérée de façon seine au quotidien. Puis pourquoi les subventions sont versées à un organisme, qui seront remises à un autre organisme, puis à un autre.
Puisque, lorsque additionne les différentes sources (fédérale, provinciale et municipale), le gâteau est quand même assez gros. Chaque palier possèdent sa structure d’intervenants.
On devrait cesser de subventionner complètement. On économiserait sur la structure de fonctionnaire et les gros joueurs de la culture ne pourraient plus profiter des subventions. Le citoyen aura plus d’argent dans son portefeuille et pourra recommencer à aller au théâtre, voir des spectacles d’ici…
La chose la plus sensée que j’ai lue ici depuis un maudit bout de temps, viande à chiens.
« If your record ain’t sellin’ you lack creativity. » -Wyclef Jean
Hé, toi, l’artiste, tu veux vivre de ton art? Fais quelque chose qui plaît suffisamment à assez de gens pour qu’ils aient envie de te payer pour que tu fasses des choses semblables.
Sinon crève.
Hé toi le fonctionnaire, tu aurais voulu oeuvrer dans le milieu de l’art, mais tu ne sais ni dessiner, ni chanter et t’as l’air d’un pichou?
La vie est injuste. Get a life!
« Pensez-vous vraiment que le peuple voulait qu’on prenne leurs taxes pour construire un fastueux studio de radio de cinq milllions; pour qu’on se tape Marie-Louise Arsenouille, Pénéfloppe et le médiocre Wothier signalant leur vertu à la semaine longue? » – Pierre Lefardeau
Alors non seulement ils veulent plus de subvention, donc la prendre dans vos poches via impôt. Mais aussi, si vous payez 500$ pour aller voir un artiste qui n’est pas de leur gang, alors c’est du détournement de fond que vous faites, d’argent qui aurait dû leur revenir…
Ce n’est pa qu’il manque d’argent, c’est que l’argent est mal dépensé et pas seulement pour la culture
Donc maintenant il y a la culture toxique et la ‘bonne’ culture. Bientôt on va avoir des bénévoles aux lumières rouge pour nous faire la morale si on écoute pas karkwa.
Les milieux culturels vont avoir un (très) sérieux examen de conscience à faire. La distance entre le milieu culturel et la population a beaucoup à voir avec le fait qu’ils ont progressivement cherché à gagner des prix plutôt qu’à parler au public. Un exemple explicite de cela est le milieu du cinéma. Ayant grandi dans les années 1980-1990, on allait encourager les films de Roch Demers pour enfant (p.e. La grenouille et la baleine ou Les aventuriers du timbre perdu) et l’offre de qualité était abondante, à l’époque. Aujourd’hui, ce n’est plus vraiment le cas (n’a-t-on pas repris des classique de l’époque pour recréer cette magie du passé) et, malheureusement, des enfants qui avaient l’habitude d’écouter des films québécois ne garderont pas l’habitude une fois adulte (je parle des 40 ans et plus). Pour éviter toute ambiguïté, il y a du talent immense au Québec (Dune, ça vous dit quelque chose?!?), mais ce milieu est composé de gens qui préfèrent la congratulation des pairs et le rayonnement personnel. Quoi faire maintenant? Je suggère à nos artistes de regarder du côté de l’Espagne qui produit toujours des films locaux intéressants pour les enfants. Et devinez quoi? Les enfants espagnols vont en masse au cinéma pour voir leurs films dans le temps des Fêtes 🙂 Les parents, eux, sont fiers de cette culture cinématographique. On a essayé de budgéter le cinéma pour gagner des prix internationaux, ce qui a fonctionné, mais le résultat avec le public est une catastrophe.
Le phénomène d’engraisser les plus gros au dépend des plus petits n’est pas nouveau. Aider notre industrie culture est essentiel, nos artistes pour la plupart vivent en deçà du salaire minimum. Par contre il faudrait que l’on cesse d’engraisser des humoristes insignifiants et de subventionner toujours les mêmes qui se remplissent les poches.
Comment intéresser à investir dans la culture avec une tête de con comme ça qui fait la promotion…
Pas inspirant.
Comparer Stats/Indéfendables et les autres avec les séries Américaines. Vous allez avoir la réponse. C’est tellement larmoyant, prévisible et mal joué au Québec. Les meilleurs séries québécoises sont derrière nous
Bof, ça fait très longtemps que je n’ai pas vu de bonne série américaine non plus.
De bonnes idées parfois, mais tellement de remplissage… Et beaucoup de clichés et de personnages déjà vu…
Les gens ne sont pas difficiles en la matière je trouve.
Culture Kebs !?!?!? Hhahahahahhahaha !!!
Pourquoi donner de l’argent à la culture si, apparemment selon certains calculs fantaisistes, « chaque dollar investi en rapporte deux » ?
Investissons dans Safia…
Faisons des dons aux coucous et à Dudu.
Je sais que c’est pas facile, mais tu dois avoir confiance, un jour, tu vas trouver la bonne posologie…
Alors comment se fait-il que tu n’y arrives pas ?
ConTiNuOnS ! !
https://www.journaldequebec.com/2024/10/12/francois-legault-sest-paye-un-chandail-de-guy-lafleur-avec-les-fonds-publics
« Je n’ai rien contre les Soeurs Boulet, Nafia Solin et Débile Bilodeau; mais j’aimerais mieux que mes taxes servent à autres choses qu’à subventionner le discours victimaire! » – Un flippeux de burgers au salaire minimum sua rue Ontario.
Demandez-vous pas pourquoi le Québec est le champion ou on consomment des antidépresseurs avec la musique déprimante de nos tartistes en dépression.
Et les émissions télé saturés de drame où rarement on voit un homme « alpha », contrairement à tout ce qui se fait ailleurs.
Qui est le dernier héro courageux (pas un héro qui l’est devenu accidentellement ou par la pitié) masculin québécois dans une série télé?
Je suis sûr que vous allez penser à 2-3 icônes féminines avant de trouver celui masculin.
De la culture québécoise, il y en a de la très bonne. Peut-être pas celle qui est mise de l’avant….!
Pourquoi nos zartisses ne font pas des spectacles que les gens veulent aller voir plutôt que de brailler continuellement pour recevoir encore plus de NOTRE argent?