que d’un enfant percuté par un cri** de char?
Cet été, le journal de Mtl a fait un grand cas d’un accident très banal entre une écolière et un vélo où finalement,personne n’a eu de dommages. Pas cool mais on en a jasé durant deux semaines. Hier, accident beaucoup plus grave. En fera-t-on un grand cas? https://t.co/ynT0uYWZaz
— JF Gagné (@patachou151) August 28, 2024
Commentaire inutile à m’envoyer: plus de clics pour le vélo!
Ben voyons, c’est quoi ce post là!
La réponse Clique : c’est parce que les cyclistes se croient tout permis et que c’était un exemple flagrant. Point.
Mets-en, c’est exactement ça, suffit de sortir dehors pour voir des cyclistes frôler des enfants à x km/h. Et je suis sûr qu’ils trouvent ça normal. Certains oublient que c’est légal d’aller lentement en vélo. Qd je fais du jogging, et qu’il y a des kids, même à pied je ralentis.
Est-ce que tu fais du jogging avec d’autres moyens que tes pieds?
Wow convaincant
On sent la rigueur intellectuelle d’un Nacouzi ici.
On devrait dire à Jf Gagné que les brigadiers en on plein leur casque des cycleux qui zigzague devant les piétons et rentrent dans les personnes âgées.
Ben si le vertueux JF met un lien vers un article du Journal de Montréal, c’est signe qu’ils en parlent! Ils en ont parlé à TVA, à QUB, alouette. Je ne comprends pas son point. Tout le monde est scandalisé par le fait qu’un bonhomme de 72 ans en Abitibi n’a pas respecté les feux rouges clignotants de l’autobus scolaire. L’enquête est en cours et fort probablement que des accusations seront portées. C’est le Journal de Montréal aussi qui a parlé pendant un mois (avec raison) de la jeune ukrainienne qui a été tuée près de son école par un chauffard en Jeep Grand Cherokee. Tu es de mauvaise foi mon JF…
Tout comme à Radio-Canada on ne parle plus que des douleurs atroces dans lesquelles une des soeurs Boulay a accouché; un nombre incalculables d’horreurs physiques et psychologiques raconté dans son nouveau livre lumineux et inspirant. À en croire les chroniqueuses, jamais femme n’avait tant souffert depuis le début de l’humanité. Jusqu’à maintenant j’ai dénombré pas moins de six entrevues sur le sujet dans l’institution des tas. Bientôt le film? Xavier a été pressenti pour le tournage.
Avec Anne Dorval dans le rôle de la mère histérique qui n’arrête pas de crier? Wow c’est bon pour une tite statuète ça. Que dis-je, un oscar!
Moi, indubitablement, je pressens rien de moins qu’un César!
« Oh Marc! Tu m’impressionnes tellement avec ton incommensurable culture cinématographique! » – Rima, OSBL La Paresse
Le Ti-Coune se sert d’un article du Journal de Montréal pour illustrer que le Journal de Montréal ne couvre pas l’histoire. Chapeau!
les cyclistes qui respect rien c’est non
« par un cri** de char? » C’est confirmé. Clique habite sur le plateau et n’a plus une cenne pour se payer un criss de char. Il pédale habillé en fillette et ca le touche vraiment cette histoire, ne riez pas.
Philo 1.
Amos, tsé ! Fokin Amos gro ! ! Pis il se demande pourquoi on veut pas en entendre parler !
Je crois que c’est simplement parce que l’accident avec le vélo a été filmé et partagé sur les réseaux…
« On veut pas le sawoère, ON VEUT LE WOÈÈÈRE ! »
Sa réponse est le début de sa question: cet été.
parce que ça se passe à Amos, une ville de rednecks saucés pas à peu près
https://www.lesacdechips.com/2024/06/13/les-dix-pires-villes-du-quebec-selon-lia
Pourquoi? Pourquoi???
Parce qu’un cycliste, c’est noble et ça ne chie pas de marde, Nicouzi passe ses journées à essayer de nous en convaincre.
Troll…
« Pourquoi parle-t-on plus de la fillette heurtée par un vélo…que d’un enfant percuté par un cri** de char? »
Se faire ramasser par un ivrogne en char à Amos… Ce n’est pas un accident, c’est une activité culturelle locale.
Quoi que les amérindiens crient à l’appropriation culturel
Tu te trompes, ce sont les white liberals qui s’approprient les enjeux de gens qui ne veulent rien savoir.
Clique pensait avoir trouvé quelque chose de profond.
c’est plutôt évident que si la collision à vélo s’était passé à Amos, sans vidéo, ça aurait eu la couverture médiatique digne d’un arbre qui tombe dans la forêt sans témoin.