D’abord, quand tu paraphrases, tu n’encadres pas la citation de guillemets.
Ensuite, la mairesse n’a pas dit cela, même dans d’autres mots. Ce n’est donc pas une paraphrase, mais une pseudo-citation textuelle, utilisée comme procédé discursif pour railler la mairesse.
On déduit effectivement plus bas dans l’article que ce n’est pas réellement ce qui a été dit.
Le problème, c’est que les compétences en lecture de l’électorat moyen de Martineau va aisément croire que la mairesse a réellement tenu ses propos.
Normalement, Martineau parle d’une séquence de film qu’il a vu pour expliquer quelque chose étant donné son vocabulaire restreint. Je crois que Gerbet a été simplement décontenancé par le nombre de phrases que le mari de Sophie a employé. Je soupçonne Sophie de l’avoir aidé à construire son texte aujourd’hui..
Exact, c’est une périphrase. Les tatas qui te mettent un pouce rouge ne savent probablement pas ce qu’est une périphrase.
Il y a beaucoup de gens qui disent : » Pour paraphraser untel… » avant de citer textuellement la personne. Ils pensent que paraphraser quelqu’un veut dire le citer tel quel.
Oui, mais en bon français radio-canadien du plateau, il ne le fera pas..
Ah bon !
10 mois il y a
Gerbet est pas trop trop allumé…tout le monde savait qu’elle n’avait jamais dit ça de la façon que Martineau a écrit son texte…Thomas, arrête de fréquenter les wokes…ton cerveau ramolli..
Surtout que Martineau a écrit juste en dessous: Je rigole, bien sûr… La mairesse n’a pas dit ça. Gerbet a délibérément fait sauter ce bout de phrase. C’est ce que j’appelle une faute professionnelle.
kif-kif
10 mois il y a
Richard Martineau est capable de lire le langage non verbal de Valérie Plante. Elle a vraiment dit ça avec son corps et sa face.
Un piéton
10 mois il y a
N’importe qui avec un minimum d’intelligence comprenait que ce n’était pas une vraie citation.
Le problème est qu’un nombre significatif de personnes ne possèdent pas ce minimum d’intelligence.
Martineau a toujours excellé dans la manipulation de la vérité pour conformer celle-ci à son récit, mais mentir purement et simplement représente un tout autre degré.
Je me demande bien ce que tu fais dans la vie… Après tes études en sciences molles sans maths à l’UQAM, tu es devenu assistant-moppeux dans un bloc appartement miteux d’un quartier médiocre? Ou c’est déjà trop « high scale » pour tes talents et tes moyens limités?
Lis bien le commentaire du piéton juste avant le tien.
Sigmund Fraude
10 mois il y a
Fait longtemps que Martineau est devenu une caricature, à chialer quotidiennement sur les anglâ, les immigrés pis les wokes. Ça tourne en rond, tout le monde commence à s’en calisser, grand bien nous fasse.
Ce n’est pas de l’ironie. L’ironie est de dire le contraire de ce qu’on pense. Or ici c’est exactement ce que pense Martineau à propos de la mairesse.
Martineau périphrase Valérie Plante en lui mettant des mots dans la bouche qui expliquent parfaitement bien l’incapacité de Plante à trouver de vraies solutions pour régler les problèmes de la Ville.
Il n’y a aucune ironie dans le texte de Martineau. Sinon ça voudrait dire que Martineau pense le contraire de ce qu’il a écrit. Or tout son texte représente exactement sa pensée, qui est : Valérie Plante est une vraie incompétente.
Y’en a que c’est leurs pickups, d’autres leurs graines mais lui c’est l’argent.
La vie en Instagram
10 mois il y a
« Vous ne croyez pas que la mairesse a dit ça ? »
Martineau le dit lui-même dans la première phrase suivant ladite citation.
Coudonc, le jugement se perd donc ben depuis quelques temps, tout le monde dit des choses ou fait des affaires bizarres.
Samantha Barnack
10 mois il y a
sérieux, faut vraiment être nul en lecture pour pas avoir compris que c’était de la provoc à la Martineau
Retourne donc lire Rima et son chien de poche dans LaPresse. C’est tellement mieux.
Peter B. Parker
10 mois il y a
Les colonnes mises à la disposition de Richard ne sont pas assez grandes pour qu’il puisse y insérer de la nuance.
Ça lui donne aussi l’occasion de poursuivre sa chronique une autre journée. Anyway, Richard a environ trois sujets récurrents : l’islam, la gauche et sa bizoune.
Incapable de détecter l’ironie dans son texte? Tu dois approuver les actions de la mairesse pour ne même pas t’attarder au véritable sur sujet de la chronique.
Pas la première fois que tu nous étales ton manque d’intelligence. Tu te surpasses ici.
C’est l’histoire de 2 végans qui jouent à cachette et un dit à l’autre » Hey ,où steak haché! «
Commentaire inutile: Ça se peuuuuut po, des végans, ça mangent po de viande !
—Thomas
TG TOM !
Legrand
10 mois il y a
Ce Gerbet est-il toujours journaliste à Radio-Canada ? Pas vite du ciboulot !
Décroche avec ton 3e lien, big !
10 mois il y a
Encore une autre grossière généralité émise par ce chroniqueur qui plus souvent qu’autrement a tendance à tourner les coins ronds et par conséquent dire des sottises.
Gerbet est de très mauvaise foi et un sapré menteur!
Martineau a bel et bien écrit à la suite de son propos ironique: « Je rigole, bien sûr… La mairesse n’a pas dit ça. »
Ça s’appelle paraphraser, Thomas l’illetté. Regarde un paragraphe plus bas, Thomas.
Apprend à lire, Thomas.
Gerbet le reprend sur un règlement des Normes et pratiques journalistique, pas sur le « on pense que le monde va comprendre ». Nuance.
Justement Rico n’est pas un journaliste mais un clown
C’est drôle et original ‘gauchissse’
Quand on paraphrase, on ne met pas de guillemets.Illettré toi-même.
D’abord, quand tu paraphrases, tu n’encadres pas la citation de guillemets.
Ensuite, la mairesse n’a pas dit cela, même dans d’autres mots. Ce n’est donc pas une paraphrase, mais une pseudo-citation textuelle, utilisée comme procédé discursif pour railler la mairesse.
On déduit effectivement plus bas dans l’article que ce n’est pas réellement ce qui a été dit.
Le problème, c’est que les compétences en lecture de l’électorat moyen de Martineau va aisément croire que la mairesse a réellement tenu ses propos.
La critique de Gerbet est en ce sens justifiée.
Un insignifiant qui justifie l’insignifiance de certains lecteurs.
Bravo.
Pendant ce temps, on évite le vif du sujet.
Très ordinaire.
Normalement, Martineau parle d’une séquence de film qu’il a vu pour expliquer quelque chose étant donné son vocabulaire restreint. Je crois que Gerbet a été simplement décontenancé par le nombre de phrases que le mari de Sophie a employé. Je soupçonne Sophie de l’avoir aidé à construire son texte aujourd’hui..
Correction: pas « l’électorat », mais « le lecteur »
illettré pauvre crétin, apprends à écrire.
Te revoilà, toi, le lombric…
Tu défends tes autres pseudos ? T’es cute 😘
Contrairement à toi, je n’ai pad de temps à perdre, pauvre acéphale.
Sauf que Thomas est probablement un des seul que l’on peut appeler/qualifier de vrais journalistes! Alors que Martineau…
Martineau n’a pas la prétention d’être un journaliste, il a dit/écrit plusieurs fois qu’il est un chroniqueur.
Martineau est chroniqueur. Reviens-en.
Enfin une bonne réponse de ta part !!!
Relis ma phrase ti-coune . Ou est ce que je dis que Martineau est un journaliste. Je dis que Gerbet en est un . Un vrai!
(ti-coune)
Exact, c’est une périphrase. Les tatas qui te mettent un pouce rouge ne savent probablement pas ce qu’est une périphrase.
Il y a beaucoup de gens qui disent : » Pour paraphraser untel… » avant de citer textuellement la personne. Ils pensent que paraphraser quelqu’un veut dire le citer tel quel.
Arrives ici que je te paramote.
Paraphrase, et non périphrase.
Devrait penser avant d’écrire chose….
Toi, tu penses des fois?
Mon dieu, je suis sur le c….l.
Si la moyenne des ours ne peut pas discerner que ce n’est pas vrai, faut être vraiment tata.
Gerbet devrait plutôt se pencher sur l’incompétence crasse de Plante et son équipe de paumés plutôt que de chercher des poux ou il n’y en a pas.
Oui, mais en bon français radio-canadien du plateau, il ne le fera pas..
Gerbet est pas trop trop allumé…tout le monde savait qu’elle n’avait jamais dit ça de la façon que Martineau a écrit son texte…Thomas, arrête de fréquenter les wokes…ton cerveau ramolli..
Surtout que Martineau a écrit juste en dessous: Je rigole, bien sûr… La mairesse n’a pas dit ça. Gerbet a délibérément fait sauter ce bout de phrase. C’est ce que j’appelle une faute professionnelle.
Richard Martineau est capable de lire le langage non verbal de Valérie Plante. Elle a vraiment dit ça avec son corps et sa face.
N’importe qui avec un minimum d’intelligence comprenait que ce n’était pas une vraie citation.
Le problème est qu’un nombre significatif de personnes ne possèdent pas ce minimum d’intelligence.
Entre « « C’est un citation
De qui parles-tu ?
Il y a au moins deux cons ici (pouce rouge).
Martineau a toujours excellé dans la manipulation de la vérité pour conformer celle-ci à son récit, mais mentir purement et simplement représente un tout autre degré.
Wow. Mentir?
Tu dois être un méchant fragile pour redéfinir les mots de la sorte. Odeur de woke.
No Life Gonzola
Je me demande bien ce que tu fais dans la vie… Après tes études en sciences molles sans maths à l’UQAM, tu es devenu assistant-moppeux dans un bloc appartement miteux d’un quartier médiocre? Ou c’est déjà trop « high scale » pour tes talents et tes moyens limités?
Eh boy… Il aurait vraiment fallu que tu restes à l’école au moins jusqu’en « 8ᵉ année » !
Esti que t’as l’air nono avec ton commentaire.
Lis bien le commentaire du piéton juste avant le tien.
Fait longtemps que Martineau est devenu une caricature, à chialer quotidiennement sur les anglâ, les immigrés pis les wokes. Ça tourne en rond, tout le monde commence à s’en calisser, grand bien nous fasse.
Venant de toi, toujours à ch*er sur tout le monde pas surprenant.
Apprend à lire.
Et à comprendre le textes.
Pour le reste, ta maladie mentale t’empêche toute réflexion.
Va travailler
Et toi, ma belle, tu fais quoi de bon en ce moment?
Ironiquement, ça a l’air d’être toi qui s’en calice et qui est le plus affecté par Martineau.
T’inquiète. Ce mioche est profondément attardé.
Faut être vraiment stupide pour ne pas reconnaitre l’ironie ici.
Ce n’est pas de l’ironie. L’ironie est de dire le contraire de ce qu’on pense. Or ici c’est exactement ce que pense Martineau à propos de la mairesse.
Martineau périphrase Valérie Plante en lui mettant des mots dans la bouche qui expliquent parfaitement bien l’incapacité de Plante à trouver de vraies solutions pour régler les problèmes de la Ville.
C’est peine perdue d’essayer d’expliquer l’évidence à quelques pleutres qui rivalisent de stupidité.
Niaisage..il me semble que c’est écrit sur un ton tellement ironique que c’est évident qu’elle n’a pas dit ça pour vrai.
Il n’y a aucune ironie dans le texte de Martineau. Sinon ça voudrait dire que Martineau pense le contraire de ce qu’il a écrit. Or tout son texte représente exactement sa pensée, qui est : Valérie Plante est une vraie incompétente.
« Valérie Plante est une vraie incompétente ».
Ça, ce n’est pas de l’ironie, c’est une évidence.
Tu précises et tu ne mets pas ça entre guillemets.
Zéro fiction ici, Tommy….
Ce sont les mots exacts de la
Ricaneuse
Gerbet a un très grave problème de compréhension de texte. Un illettré fonctionnel, comme on dit!
Et millionnaire!
Que vient faire ici son compte en banque ?
Y’en a que c’est leurs pickups, d’autres leurs graines mais lui c’est l’argent.
« Vous ne croyez pas que la mairesse a dit ça ? »
Martineau le dit lui-même dans la première phrase suivant ladite citation.
Coudonc, le jugement se perd donc ben depuis quelques temps, tout le monde dit des choses ou fait des affaires bizarres.
sérieux, faut vraiment être nul en lecture pour pas avoir compris que c’était de la provoc à la Martineau
Osti de faiseux ce Martineau. Imbuvable.
Retourne donc lire Rima et son chien de poche dans LaPresse. C’est tellement mieux.
Les colonnes mises à la disposition de Richard ne sont pas assez grandes pour qu’il puisse y insérer de la nuance.
Ça lui donne aussi l’occasion de poursuivre sa chronique une autre journée. Anyway, Richard a environ trois sujets récurrents : l’islam, la gauche et sa bizoune.
Tiens, notre pleutre insignifiant.
Incapable de détecter l’ironie dans son texte? Tu dois approuver les actions de la mairesse pour ne même pas t’attarder au véritable sur sujet de la chronique.
Pas la première fois que tu nous étales ton manque d’intelligence. Tu te surpasses ici.
Bon, on t’a laissé sortir.
À voir à quel point tu te déchaînes, tu devrais retomber dans ton creux de vague assez vite.
Tu me diras comment est la bouffe à Pinel, si jamais l’envie me prend d’aller te visiter.
Beaux arguments. Tu rates la cible pour la deuxième fois.
Focalise sur le sujet, pauvre innocent.
Valérie, c’est ta cousine avec qui tu jouais au docteur quand tu étais ado?
« Incapable de détecter l’ironie dans son texte? »
Normal, puisqu’il n’y a pas d’ironie dans son texte.
As tu trouver une job ?
Effectivement, oui. Je termine de payer mon RRQ pour 2024 la semaine prochaine justement.
Toi, ça va bien dans ta porcherie au salaire minimum?
Achète toi un vie avec le restant.
Je vais te laisser à tes Eggo, minable!
Le bonheur total pour Martineau ce matin.T.Gerbet parle de lui.
Je pense qu’il s’en contre-c*lice.
Le genre qu’il faut toute expliquer
C’est l’histoire de 2 végans qui jouent à cachette et un dit à l’autre » Hey ,où steak haché! «
Commentaire inutile: Ça se peuuuuut po, des végans, ça mangent po de viande !
—Thomas
TG TOM !
Ce Gerbet est-il toujours journaliste à Radio-Canada ? Pas vite du ciboulot !
Encore une autre grossière généralité émise par ce chroniqueur qui plus souvent qu’autrement a tendance à tourner les coins ronds et par conséquent dire des sottises.
Tu ne dois pas avoir mis les pieds à Montréal depuis un bon bout…
Ça va bien dans le Gros Village?
Ahhh Gerbet. Le fleuron des journalistes prometteurs de Radio-Kenéda…
Une étoile montante de l’école du wokisme?
Paraphrase, périphrase ??? Pléonasme, métaphore, allégorie ???
J’ta boutte j’pu capable jai
…j’ai oublié ce que je voulais dire….maudite drogue!
Une citation dans un texte, ça doit être précis et du mot à mot. C’est ça du vrai journalisme.
Martineau est chroniqueur.
Toi tu es insignifiant.
Rien d’autre à ajouter…
Gerbet est de très mauvaise foi et un sapré menteur!
Martineau a bel et bien écrit à la suite de son propos ironique: « Je rigole, bien sûr… La mairesse n’a pas dit ça. »