Parce qu’elle se faisait intimider à causes de ses robes!
#pascapable
La pensée woke se fait remettre à sa place. pic.twitter.com/HXYn79uGa3
— Pat Laliberté (@Pat77432407) March 22, 2023
Commentaire inutile à m’envoyer: c’est de l’humour… elle le dit!
Toujours aussi subtile, cette petite condescendante donneuse de leçon.
Mansplainée, manterruptée, humilée, la jeune influenceuse doit se sentir souillée.
On pourrait poser la même question à propos de têtes à claques sans talent ni jugement comme Judith Lussier, Fabrice Vil, Patrick Lagacé, Varda Étienne et Frédéric Bérard.
Et moi, vous y avez pensé??
C’est qui elle?
Une tache dans le paysage.
Le monde commencer à allumer. Comment se fait-il qu’on les voit partout, tout le temps ? Une réponse : réseaux sociaux interconnectés. Ça multiplie par un facteur exponentiel la probabilité que quelqu’un quelque part te lise et te partage.
Elle a l’air d’une petite Hyène.
Bureau qui traite quelqu’un de « condescendant »
Faut le faire!
Il fait encore des interviews Juste pour rire comme vous pouvez le voir.
Il se fait pire que ça dans une cour d’école.
Quand tu te déteste mais que tu ne veut pas le dire..
Ç’aurait été bon si elle avait dit « black trash » en parlant de Montréal-Nord ou « jewish trash » en parlant d’Outremont.
Rawdon est un shithole vraiment dégueulasse. Pour aller la, il faut faire comme sur l’Everest, des paliers d’acclimatation. Sainte Anne des Plaines…Sainte-Julienne…Saint Jérôme, et bonne chance.
Pauvre nono, pas fort en géographie, on ne passe pas par St-Jérôme pour aller à Rawdon!
pauvre nono! … ça joue rough à matin!
Extrait à garder précieusement…c’est exactement ça le wokisme…une idéologie qui se perds dans ses contradictions…et qui fait reculer l’humanité…
Bravo, quelqu’un qui stoppe la discussion dès le départ pour faire réaliser que les mots ont une signification.
Vous pensez qu’elle aurait été challengé à l’émission de Marie-Louise?
t’es pas 2 semaines en retard, Clique? Toi-même, tu as posté y a 2 semaines sur cet extrait et la reaction MBC
Mépris de classe.
Un petit racisme antiblanc socialement acceptable pour cette petite caste de bobos inutiles.
Et après ça, les wokes refusent de voir qu’il y a effectivement un racisme anti-blanc bon chic bon genre et de bon goût que les journalistes de La Presse vénèrent et que QS entretient avec passion.
Le classique…
J’ai eu des problèmes de relations de pouvoir…alors je fais ma petite revenge…
Parce qu’elle portait une robe à carreaux et que les autres n’aimaient pas ça!
Insupportable celle-là.
Ciboire
Plus le monde la deteste, plus le détestable Guy A l’invite, lui qui est l’homme le plus féministe au pays.
Tout le monde se résume à une tite gang d’incels sur un site minable hahahahahaha
Moi j’aime beaucoup les termes black trash et turban trash.
72 chroniques du Dandy Sociologue à prévoir d’ici la fin du mois …
T’es en retard abruti. Il y a eu une seule réponse de sa part et ça fait déjà deux semaines.
Aucune personne qui fait une critique premier degré de cet extrait n’est capable d’écouter une émission de débat de plus d’une heure. C’est factuel. Bureau et Léa C-D discutent normalement dans un cadre normal et il n’y a aucun racisme dans les propos, seulement de la maladresse qui est soulignée, puis immédiatement reconnue.
Désolé mais toutes les autres interprétations relèvent de la mauvaise foi crasse ou de l’imbécilité.
« Il n’a aucun racisme dans les propos »
J’aimerais entendre ta définition du « white trash » en parlant d’une population en particulier et comment tu définirais le même genre de mépris envers une autre population en particulier.
Bonne réflexion.
Fais-moi accroire que c’est pas comme dire que c’est « trailer park » ou peu importe. On peut pas faire semblant de s’offusquer pour une expression anodine juste parce que c’est du « bon bord ». Soit on nettoie le langage de tous les mots de couleur, soit on a un peu de colonne et ça va.
Si on dit qu’il y a un peu de mépris de classe, alors ok. D’ailleurs elle le reconnaît.
« White trash » : traduction libre = cul-terreux.
C’est effectivement du mépris envers des personnes issus de milieux ruraux peu instruites et jugées rustres. Le fait qu’ils soient blancs est accessoire (traditionnellement, les « white trash » référaient aux habitants des campagnes du mid-west américain, qui étaient blancs donc, mais surtout « trash »).
C’est donc une discrimination basée sur le statut social d’abord et non sur la couleur de peau.
Question, M. Les faits : si on peut parler de racisme dans ce cas là, pourquoi ne pourrait-on parler de racisme lorsqu’on méprise les Musulmans?
On parle ici d’une couleur de peau, « white », tu auras beau retourner ça dans tous les sens, ça reste ça pareil. Si la population de Rawdon était noire, la fille n’aurait pas utiliser cette expression, en fait elle aurait tout simplement rien dit.
L’islam n’est pas une race, mais une idéologie.
Voilà!
En as-tu d’autres questions faciles comme ça?
Je crois à la répétition comme méthode d’enseignement.
Alors je reprends.
Le terme « white-trash » ne désigne pas une race, mais un statut social (l’expression date de la ségrégation c’est pourquoi on précise aussi une race).
Si on parlait simplement de la couleur de peau, on dirait simplement « white ».
C’est pas parce que Rawdon est un trou à marde qu’il faut être condescendante.
Le black trash, ça ne marcherait pas parce que….coupé la conversation. J’aurais aimé avoir la réponse de Léa. Cette fille a la frustration imprimée dans le visage, elle incarne la fille insatisfaite qui aurait grand intérêt à entamer une psychanalyse. Probablement que des antécédents familiaux pourraient en révéler beaucoup!