Commentaire inutile à m’envoyer: nous sur notre masque s’était un X lorsqu’on a manifesté (les humoristes du Québec)
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infirmière professionnelle
1 année il y a
Ben oui, elles devraient peut êtres se regarder entres elles, le nombres d’abscences est ahurissants et ce n’est pas d’hier. Dans mon hôpital, les filles se le disent entres elles quand elles vont callés malades, pour faire autres choses. Ca fait plus de 25 ans que c’est comme ca. Trop facile a faire, un appel sur un répondeur pour dire que je suis malade et c’est tout. Personnes ne veut stoolé. Malade pour un party, malade pour faire le tour de l’ile en bicyclette, malade pour aller a un mariage, malade pour collé deux jours…..ca ne finit plus. lâchons un peu le répétage de A bout de souffle, épuisée, etc
je suis tannée de mes consœurs
Oui mais elles sont les punchings bags des médecins. Déjà elles passent pour être moins professionnelles, il y a de a démotivation, des examens doivent être repris. Résultat : les client frustrés « vargent » dessus lorsqu’il y a des pépins…Évidemment c’est 3x pire en santé mentale.
Il faut faire la part des choses. Dernièrement j’ai été hospitalisée au CUSM, Montréal (centre universitaire de santé McGill) pour 3 pontages, et je n’ai pas vue aucunes infirmières a bout de souffle, épuisées, comme ils disent nos fameux répéteur de journalistes. Elles avaient pas mal de temps a jaser et rires au poste et dans les corridors. Rien de rushé. En plus plusieurs ne parlent que l’anglais, ou ne voulaient pas parler en Français, incluant des médecins et des stagiaires.
Ben oui, elles devraient peut êtres se regarder entres elles, le nombres d’abscences est ahurissants et ce n’est pas d’hier. Dans mon hôpital, les filles se le disent entres elles quand elles vont callés malades, pour faire autres choses. Ca fait plus de 25 ans que c’est comme ca. Trop facile a faire, un appel sur un répondeur pour dire que je suis malade et c’est tout. Personnes ne veut stoolé. Malade pour un party, malade pour faire le tour de l’ile en bicyclette, malade pour aller a un mariage, malade pour collé deux jours…..ca ne finit plus. lâchons un peu le répétage de A bout de souffle, épuisée, etc
je suis tannée de mes consœurs
Oui mais elles sont les punchings bags des médecins. Déjà elles passent pour être moins professionnelles, il y a de a démotivation, des examens doivent être repris. Résultat : les client frustrés « vargent » dessus lorsqu’il y a des pépins…Évidemment c’est 3x pire en santé mentale.
Travailler avec des vieux est aussi pénible. Ils sont dépressifs et hargneux.
Sauf dans les publicités de résidences commerciales !
Je suis d’avis que les salaires devraient être plus équilibrés (y compris chez les préposés)
Toujours les $$$, jamais d’imputabilité.
Il faut faire la part des choses. Dernièrement j’ai été hospitalisée au CUSM, Montréal (centre universitaire de santé McGill) pour 3 pontages, et je n’ai pas vue aucunes infirmières a bout de souffle, épuisées, comme ils disent nos fameux répéteur de journalistes. Elles avaient pas mal de temps a jaser et rires au poste et dans les corridors. Rien de rushé. En plus plusieurs ne parlent que l’anglais, ou ne voulaient pas parler en Français, incluant des médecins et des stagiaires.
Parce qu’il y a une manière d’améliorer l’efficacité du travail en diminuant le nombre de pas, et en faisant moins travailler le dos.
Il y a une explication à tout
Parce que !
Quel lien de marde. Bravo !
👌
👍
👍
J’ai hâte de voir Dubé réagir à ça
La CRAQ ne devait-elle pas régler tous les problèmes de Santé il y a 5 ans?
Je m’ennuie de Couillard et de Barette.
Maintenant, couché les caniches
« Je m’ennuie de Couillard et de Barette »
Ouch !!! En lisant ça, une veine m’a pété dans le cerveau…
Ah non pas encore.
T’as échappé deux ans. Où t’étais ?
Oublie pas John James et son Mont Orford privé. De beaux souvenirs! 🥲
Je crois qu’elles ont raison mais, selon moi, leur sourire n’aide pas leur cause.
Il y a juste des affaires qui sont pas à ton niveau de porridge cérébral. Le plus grand sourire au monde n’y changerait rien
de perruches
Bizarrement quand c’est les travailleurs de la construction qui font pression, le gouvernement se met tout suite à genoux.