Geneviève Pettersen sur L’Union des écrivaines et des écrivains québécois!
Déjà que c’est pas payant…
Lien de l’article!
Commentaire inutile à m’envoyer: c’est pas un gros pourcentage!
Geneviève Pettersen sur L’Union des écrivaines et des écrivains québécois!
Déjà que c’est pas payant…
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Commentaire inutile à m’envoyer: c’est pas un gros pourcentage!
Tu parles d’une affaire toé.
Ce n’est pas normal de s’insurger pour ce qui représente des peanuts..
C’est beau. On a compris que tu le trouve ben drôle le gif. Pas besoin de le remettre à chaque post.
il se croit sur Imgur.
On a compris que tu es un petit moraliste a deux balles, pas besoin de nous écrire des verbiages chaque jour sous tous les post…
Connnnard, va dire ça à celui qui ne dit que « un héros ». Lui, il fait des gammes. Le message est différent. Toi, Yannick, mon comptable, tu es toujours ennuyant. Tu ponds des lieux communs en pensant penser.
Tiens, un autre « Yannick » qui n’aime pas les peanuts. Comme celui-ci: https://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/candidats/video-developpement-du-renouvelable-par-total-c-est-peanuts-juge-yannick-jadot-qui-pointe-l-indecence-du-groupe_5057197.html
J’aime pas ceux qui n’aime pas les peanuts..
T’es la maman du héros?
Bin le syndicat va faire de l’argent. Arretez de vous plaindre !
En fonction de quoi on me rackette ? Je ne vend pas de drogue !
Un syndicat qui vampirise ses membres, ce n’est pas nouveau ça.
on s’entend que dans les écrivains, on met aussi les influenceurs et tout autre producteur de contenu comme .. la clique !
Ouf…ca sent surtout la poursuite en recours collectif. Pour cause d’inutilité patente et d’entrave aux affaires.
Ça fait longtemps que je le dis, y’a pas assez d’organisations obscures, de syndicats et de bureaucratie au Québec.
Et pas assez d’obligation de rendement…
À vraisemblament remplacé le restaurant comme moyen de blanchir de l’argent.
Mais en prenant des « syndiqués » sans leur consentement et sans grandes justification. Oui, mais les méchants éditeurs ? En fait, la pogne n’est pas là : plus de 3/4 des livres sont publiés à compte d’auteur (bon an mal an, en France, c’est 10-15% des livres reçus par les éditeurs qui sont publiés). Donc cela fait beaucoup de têtes à taxer.
Je suis certains que Catherine Éthier va le payer volontiers.
Les ravages du syndicalisme dans toutes leurs splendeurs.
Pas du syndicalisme…ceci n’est pas une relation de commensalité, mais de parasitisme patent.
Tu payes et tu la ferme. Espèce d’individualiste réactionnaire qui penses juste à son nombril et à ses profits à elle.
Ca paraît pas gros mais si tu paie les dépenses à compte d’auteur (hébergement de site, pub, reliure, traduction, frais de distribution), ou avec le 10-15-20%(?) de droit d’auteur sur le prix de vente net, ca fait chérant…Peut-être pis encore si tu n’est pas membre (donc non reconnu à des fins fiscales pour certains crédits d’impôt, à vérifier).
T’as pas le droit de commenter ça ici.
Ah ben on défend le »collectif » quand cela fait bien notre affaire Mme Paterson, la d’aider les artiste ayant une tribune comme ceux l’Ayant moins ca vous déplait… ohhhh 😉
En tant qu’auteur de romans, je trouve que cette ponction est scandaleuse.
Les auteurs qui ne sont pas d’accord pour verser une parte de leurs revenus à cette mafia, pourront toujours se tourner ver Amazone ou imprimer leurs livres en Ontario.
Oui mais Amazon propose 1 liseuse qui ne lit rien (sur certains appareils android), et un format papier qui déshonore le livre.
Qu’on étête le serpent, ce sera moins compliqué
L’Union des écrivains : pour en faire partie, il faut répondre à des critères. Ma question : qui contrôle le cartel ?
Tu ne sais pas trop c’est quoi un cartel, hein? Avoue!
Syndicat mon cul, oui
C’est l’équivalent de la formule RAND… c’est la vie.
Les frais apparaissent sans qu’un écrivain soit membre. Sont-ils appliqués de manière punitive, considérant le haut taux de dépense des écrivains indépendants ?
J’ai intégré le fait que cela ne soit pas payant. Mais l’idée de payer un seul centime à des gens qui n’ont rien à foutre de moi, ou même de la société (à les voir aller), m’est insupportable…voilà !
Je veux croire qu’on écris des livres pour le fun. Mais à un moment donné, il faut payer les factures…Et entre prendre le temps (le temps étant de l’argent) sur un projet plus payant, mais à la portée symbolique moins profonde, et un projet sous-payé, la plupart des créateurs vont choisir la première option.
C’est tellement pousser le bouchon loin, que j’ai décidé de leur rendre la pareille, avec un recours collectif sur les profits que je n’ai pas réalisé, tiens.
À 16 ans, je travaillais chez Cineplex à 10,55$ de l’heure. Le salaire minimum à cette époque était de 10,35$.
C’était syndiqué (une job étudiante syndiqué tab****). 3,5% de cotisation syndicale.
Ce qui amenait le salaire à 10,18$ de l’heure, soit 0,17$ de moins que le salaire minimum.
Les syndicats sont des rapaces.
jusqu’au jour ou le boss te crisse dehors sans raisons pour engager son ti neveu qui n’y connait rien à ta place…
Les syndicats sont des rapaces, point barre.
Va te plaindre que ton boss a fait ça, pis le syndicat va te dire d’aller te faire voir.
C’est juste de ça au gouvernement des amis et des fils de.
En aucun cas la cote prise sur les ventes à venir ne se justifie, que l’écrivain soit membre ou non en effet. L’UNeQ n’est ni un employeur, et ne fournit pas l’outil nécéssaire pour excécuter le travail (il y a bel et bien une cote qui est prise dans l’industrie du jeu vidéo, elle s’élève à 5%, mais n’est payable qu’une fois le cap du million de profits faits). En plus, celui qui prend la cote fournit l’outil de travail, un engin de jeu (comprenant les mises à jour).
Ou la lah..voilà une belle affaire. Une chaîne alimentaire de crevards, exploitée en fonction de ce que les gens pensent des écrivains, toujours à courir après les subventions (là encore c’est trompeur : tous les écrivains ne sont pas riches de ces subventions).
Avec de telles offres (généreuses), il est clair que les gens préfèreront encore garder leur emploi à salaire minimum (lorsque c’est le cas). Et comprendre que si on pige dans les poches des écrivains, c’est pour combler le manque à gagner général des quelques personnes qui contrôlent le cartel (parce que les salaires n’augmenteront pas de manière significative)
Ce sont des génies. En cause l’invention du syndicat des non-membres (c’est pas comme si on avait pas le choix, voyons !) qui outre la maîtrise du tableur Excel et les opérations financières (pour récupérer les cotisations), se compose principalement de vide : pas d’avantages, et pas de promesses. L’immense majorité des membres ? Auront peut-être le droit à quelques pinottes, à la façon des ristournes Desjardins. Les écrivains sont vraiment traités comme des merdes.
Oui c’est Epic Games (ceux-là qu’un autre soi disant représentant du peuple essaie d’abattre). Quand le soi-disant syndicat de l’écrivain, aura tout vampirisés, il est à parier qu’il tentera d’aller chercher de l’argent dans les poches des influenceurs et des créateurs de contenus, en tout genre.
Les maudit(e)s matantes et mononcles…tout cause de la dépendance. Pour les frais cachés, qu’ils commencent par Bell, les compagnies de cellulaires
En fait toutes les compagnies qui proposent du contenu sur demande.
Le pire, c’est que les détracteurs s’essaient avec l’industrie du jeu là, comme si c’était le diable en personne, alors que c’est un employeur de choix pour les rédacteurs, les traducteurs.
Bianca Gervais a changé de nom?
tout d’un coup….c’est moi le fun les taxes
Elle a tout à fait raison .les syndicats ne travaillent pas pour leurs membres , ils veulent seulement des cotisations pour se payer de bons salaires et de gros party
On ne peut pas vraiment se fier sur Geneviève Pettersen pour se faire une opinion sur le sujet.