On peut pas aller voir les veudettes de TVA et l’autre reproche d’être complaisant avec le 375e de Montréal.
Pauvre Hugo Dumas qui ne peut plus interviewer les vedettes de TVA sans avoir la permission des grands boss.
C’est strict à TVA: boss j’ai une rencontre avec Dumas, est-ce que je peux y aller.
Boss: non! Fais des interviews avec les gens du JDM.
On peut lire: Mais hier, la situation avec TVA a escaladé un sommet ridicule. Il ne m’est dorénavant plus possible de parler à des comédiens, animateurs ou auteurs liés à TVA sans qu’ils obtiennent une autorisation officielle du réseau. Autorisation qui, vous l’aurez deviné, ne leur est plus accordée.
Je veux pas être plate, mais Quebecor n’a rien à perdre… les matantes n’y verront rien. Ils ne lisent pas la Presse +, alors la guerre interne ne se rendra jamais dans un Tim Hortons.
Il dit: Je me demande ce que les actionnaires de la chaîne de Québecor pensent de cette stratégie de repli, qui n’aide pas à embellir l’image de marque du réseau et qui le prive d’une visibilité médiatique importante.
Ça c’est plus risqué de viser les actionnaires. Tant qu’à moi, si l’argent entre dans les coffres.
Plus loin dans son texte, Dumas applique la technique Sophie Durocher… voir ici citer des d’émissions qu’il aime à TVA pour adoucir un peu la situation. Comme Sophie qui varge à l’année longue sur Rad-Can, mais des fois dit qu’elle adore tel show de Rad-Can.
Il finit en disant: Je vous raconte tout ça parce qu’avec des accès bloqués, forcément, ma couverture de TVA risque de changer à la lumière de cette nouvelle directive.
Dommage en effet, mais les matantes ne lisent pas la Presse pour avoir des nouvelles de TVA. Et les lecteurs de la Presse… ne regardent pas TVA!
Mais tout ça se passe dans la même semaine où Dumas critique la nouvelle émission LE BEAU DIMANCHE et dit dans son texte: avant de poursuivre, voici une déclaration d’intérêts bien personnelle. Je connais Rebecca Makonnen et Jean-Philippe Wauthier depuis de nombreuses années, bien avant qu’ils n’atterrissent à la télévision de Radio-Canada. Ça serait malhonnête de ma part de ne pas le divulguer.
Toujours ben de la misère avec un chroniqueur télé qui « connait » les artistes d’émissions qu’il critique.
Tsé à un moment donné tu peux pas tout avoir…
Et voici la réponse de PKP ce matin par la bouche de Ravary qui, de son bord, en rajoute en disant la grosse complaisance entre les Desmarais et le 375e de Mtl.
On peut lire: Mais non, la couverture complaisante des activités du 375e par La Presse n’a rien à voir avec les Desmarais. Pas plus que les articles «brosse à reluire» sur Montréal, ville parfaite, dont La Presse gave ses lecteurs depuis deux ans. Ou qu’un journaliste de La Presse ait pu suivre Denis Coderre toute la journée mercredi, alors que le maire avait refusé, il y a quelques semaines, d’être accompagné par Le Journal dans ses visites citoyennes du samedi matin.
Hmmm… une chance que l’été arrive, parce que la même guerre à l’automne aurait été épique!
Commentaire inutile à m’envoyer: Radio-Canada n’a pas barré Antoine Robitaille, même s’il est rendu chez l’ennemi!