Tout d’abord, Nathalie Petrowski est une peureuse. Elle fait un article sur la radio-poubelle de Québec et pour cela elle se rend dans la Vieille Capitale le 3 décembre. Son article sort aujourd’hui, le 19 décembre. Pourquoi, selon vous?
Facile, tous les animateurs radios qu’elle vise dans son article tombent en vacances de Noël à partir de maintenant, alors personne pour critiquer son article à la radio.
On apprend que Dominic Maurais a été trop pissou de faire une entrevue avec elle. Lui qui ne se gêne pas pour ridiculiser des gens en entrevue, a peur d’affronter Nathalie? HA HA HA!
On apprend aussi que les Dupont, Fillion et autres font dans le demi-million de dollars par année. Pas pire pas pire pour parler de ses lendemains de brosse.
Un des plus drôles, c’est Pierre Martineau, directeur général de la programmation du FM93 qui dit: La radio poubelle, c’était dans les années 90, quand on s’attaquait aux gens. Les règles ont changé depuis. Les animateurs ont un code de conduite. Les attaques personnelles sont désormais interdites.
Ben oui, dernièrement Roby Moreault, de Radio X, disait que Dominique Payette était laide!
La partie la plus aberrante de son texte:
Le jour où j’y étais, Stéphan Dupont, qui compte une vingtaine de clients, a passé plus de sept minutes à vanter les restos Normandin. « Ça, c’est rien, s’est-il écrié. Des fois, je fais des lives de 15-20 minutes pour Qualinet. Le patron, c’est mon chum ! »
Chum ou pas, lorsque Qualinet s’est retrouvée sur la sellette alors que d’ex-franchisés en faillite ont accusé le nettoyeur de leur avoir fourni de mauvais états financiers, Dupont n’en a pas soufflé mot. Un chum, c’est un chum…
Ça c’est comme le gars qui vend des télés à Québec et qui fait la tournée de toutes les radio de Québec pour faire la promotion de ses articles cheaps. Lui, si il se fait arrêter par la police pour n’importe quoi, il n’y a pas un animateur radio qui va en parler à Qc, le gars est backé.
Évidemment, lorsqu’on parle de radio-poubelle, on doit toujours avoir une citation de mon chum Jérome Landry! Il dit:
Les radios nous engagent parce qu’on ressemble à nos auditeurs. On est des pères de famille. On vit en banlieue. On conduit des VUS. Ce qu’on raconte en ondes, on l’a entendu au Tim Hortons. On est de la classe moyenne comme nos auditeurs. »
Et Nathalie Petrowski ajoute: Membre de la classe moyenne avec un salaire annuel d’un demi-million ? J’en doute, mais les grandes gueules de Québec aiment entretenir la fiction.
J’ajouterais aussi qu’avec leur salaire d’un demi-million s’ajoutent les 2 mois de vacances l’été, les 3 semaines à Noël, les 4-5 voyages par année, les enfants à l’école privée, les soupers gratis dans les restos de Québec, les billets de spectacle donnés et tout ce que leur offrent les commanditaires de la station.
Alors, pour ce qui est du fait qu’on ressemble à ses auditeurs, on repassera…
Commentaire inutile à m’envoyer: moi, j’ai une belle 50 pouces dans mon salon, merci aux vendeurs de tv qui annoncent chez nous!