Au début mai, Guy A. demandait à TLMEP: PKP peut-il demeurer actionnaire de contrôle de l’empire Québecor tout en étant député et chef du PQ et qui sait, peut-être premier ministre?
Chantal Hébert: Y’a pas de réponse autre que de se départir d’un empire médiatique quand on devient chef de parti ou premier ministre. Pas besoin de passer un test de personnalité pour savoir si on est fin ou pas fin. Moi, je suis journaliste politique et je n’écrirais pas pour une entreprise de presse sur la politique dont le propriétaire est le chef d’un parti. C’est même pas le jour où il est premier ministre. C’est une situation impossible dans un environnement où c’est déjà difficile pour les journalistes de durer – parce qu’on est dans un marché précaire – l’idée que quelqu’un va se sentir libre d’écrire sur quelqu’un qui est chef d’un parti qui est aussi le propriétaire de son entreprise et donc, son boss, moi, je crois pas à ça. »
Ben regarde ça Chantal… 2 animateurs radio (Jérome Landry et Denis Gravel), mais surtout 2 chroniqueurs au Journal de Québec qui reçoivent en entrevue, oui le chef du parti québécois, mais aussi leur boss. YEAH!
Et il n’y a pas de problèmes là! On rigole et on ne le confronte pas trop… chummy chummy les boys!
De toute beauté… quelle photo épique!
Est-ce que nos 2 animateurs offrent le même traitement avec un candidat du NPD ou Québec Solidaire?
Ma réponse: HA HA HA HA!!!
Le meilleur passage
Jérome Landry: comment vous réagissez quand vous vous faites planter dans le Journal de Québec?
Et PKP de répondre: ben là, je me fais pas planter!
HA HA HA, normal, ce sont tes employés, c’est sûr qu’ils ne te planteront pas.
Convergence… où ça?
Tu verrais jamais Dutrizac faire ça!
Vous pouvez voir et écouter l’entrevue ici!
Commentaire inutile à m’envoyer: moi aussi j’me tiendrais tranquille devant le grand boss.