À défaut de faire la une des revues de matantes à la 7 Jours, faut trouver une façon de faire parler de soi.
Hier, le Journal de Montréal faisait sa une avec François Massicotte et sa blonde avec un titre à la New York Post:
En plus, on apprend dans l’article que la petite est atteinte du VIH. La grosse affaire toi! ON S’EN FOUT!!!!!!!!!! Faites vos affaires dans votre coin, pourquoi toujours aller vers les médias?
Bref, après une sortie comme ça, les commentaires Facebook se sont multipliés, genre: est-ce que c’est nous qui devront payer les soins avec nos taxes ou bien: pourquoi il n’a pas adopté au Québec.
Et là ce matin, ça…
HA HA HA, quel clown.
Notre couple ne sait pas encore que si t’en parles pas, tu ne fais pas la une et t’es pas obligé de t’expliquer. Cette manie qu’ont les vedettes d’essayer, par tous les moyens, d’être dans le spotlight. Votre voisine fait la même chose, et personne n’en parle, mais une vedette qu’on voit de moins en moins, oui. Quand t’as plus la lumière sur toi, tu cours après, comme un chat avec un laser. C’est pathétique. Imaginez quand ils vont montrer la une à leur fille dans 10-15 ans. Ça, c’est quand on t’a adoptée ma chouette, papa et maman étaient des vedettes dans ce temps-là!
Mention à la journaliste qui met tellement l’accent sur le: une fillette vietnamienne atteinte du VIH! C’est clair qu’au Journal on s’est dit: c’est un sujet en or, ça va faire vendre de la copie.
Et t’as François Massicotte qui dit qu’il ne savait pas qu’il ferait la une. Ben oui, hahahaha, depuis le temps qu’on l’entend celle-là. Il n’y a personne qui pense à demander à la journaliste: tu ne feras pas la une avec ça, j’espère? La une pour les vedettes, c’est le jackpot!
Gif qui représente François Massicotte et sa carrière d’humoriste…
Conseils aux humoristes qui voudraient faire la une du JDM, faudrait se diriger vers le jeune africain roux atteint de l’ebola, à qui il manque un bras et 3 doigts. Parce que la petite vietnamienne avec le VIH, c’est déjà pris! Mike Ward peut-être?
Commentaire inutile à m’envoyer: moé dans mon temps, je chi*** sur le tapis de l’hôtel cr*** pour faire l’front!