Il dit: Il est entré dans la cour des grands avec un coup d’éclat. Ce ne sera certainement pas le dernier. N’en déplaise à tous ceux qui, chez nous, méprisent son succès et son ambition. Dolan n’a pas peur d’être lui-même ni du joual coloré qui infuse ses films de réalisme. Il est le porte-étendard d’une génération décomplexée. Aux antipodes de celle, colonisée, de Denise Bombardier, prête à gommer sa québécitude, à renier ses origines, pour tenter de plaire à l’intelligentsia de Saint-Germain-des-Prés. Ha ha ha ha, outch!
Mais Marc tu TE TROMPES!!!! Tu sauras que Denise Bombardier écrit une chronique dans le Journal de Montréal, un excellent journal montrant des filles en bikini sur leur une et qu’elle fait une chronique une fois par semaine à Radio X à l’émission de l’intellectuel Dominic Maurais. Un gars qui commence son show en parlant de son voyage « tout inclus » dans l’sud pendant 20 minutes. Fac, pour colonisée, on repassera!
Commentaire inutile à m’envoyer: moi quand elle parle, je ne comprends pas un mot sur deux! (un québécois qui écoute la radio)