Bertrand Bourget a perdu un de ses fils plus tôt cette semaine.
On peut lire dans le Journal de Montréal: Sans permis de conduire et probablement sous l’effet de l’alcool, Joseph-Henri Bourget, qui sortait d’un bar de Châteauguay et que les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) ont tenté d’intercepter vers 3 h 30, a roulé à haute vitesse pour leur échapper.
Après 25 KM de poursuite, le jeune a frappé un arbre et il est mort peu après…
Suite à l’accident, son père dit: C’est très difficile. Ils disent un jeune homme, mais c’était notre enfant. Il est mort poursuivi par les policiers. Pourquoi ils ne prennent pas le numéro de plaque pour l’arrêter plus tard à leur domicile?
Ben oui, c’est une bonne idée, ça! On le laisse aller pour qu’il continue d’être un danger public. Le père aurait dit la même chose si son fils avait fait un face à face avec une autre voiture en provoquant encore plus de morts? Ridicule. À part ça, il avait juste à s’arrêter. Pas de fuite, pas de poursuite.
Tsé… il n’a plus de permis, il boit et se sauve en auto et le père blâme la police!
Typiquement québécois, on aime mieux blâmer les autres que soi-même…
Commentaire inutile à m’envoyer: on peut le blâmer aussi d’avoir parler
à Claude Poirier.