On peut lire un article très intéressant sur Luck Mervil dans le journal Les Affaires.
Extrait:
C’est la pagaille dans les comptes de la Fondation Vilaj Vilaj. Après avoir amassé quelque 50 000 $ lors de trois événements avec l’Orchestre symphonique de Montréal, fin 2010, l’organisation du chanteur Luck Mervil ne peut dire de quelle somme elle dispose… si elle n’est pas à sec.
Pas à sec??? Heille, maudite bonne affaire qu’on n’ait pas mis une cenne là-dedans!
Plus loin:
Ça a été de la mauvaise gestion de ma part, concède Parnell Pierre. On dépensait à gauche, à droite. J’ai fait des paiements avec ma carte de crédit, avec l’argent de la Fondation… Misère!
De plus, on peut lire:
En Haïti, dans la commune de Paillant, le maire compte toujours sur Vilaj Vilaj. » Hier, j’ai parlé à Luck Mervil, dit Sibrun David, joint par Les Affaires. Il y a toujours des terrains réservés au projet. «
Il mentionne cependant que le bail à ferme signé avec Vilaj Vilaj comporte un délai pour réaliser le projet, et qu’il est » presque écoulé « .
C’est ben pour dire: on nous harcèle de tout bord tout côté de donner généreusement pour construire des cabanes en Haïti et crime il n’y a rien de fait encore.
On l’attend le prochain artiste qui va nous demander de faire de généreux dons…
Commentaire inutile à m’envoyer: vous savez, 50 000$ ça peut disparaître vite, dépenses par-ci, dépenses par-là!