Ian Bussières, journaliste au Soleil, nous écrit ce matin un article sur la revente de billets au Festival d’été de Québec.
Avant de lire l’extrait, on doit préciser que la revente de macarons est, selon le site internet du FEQ, strictement interdite.
Voici l’extrait de l’article du journaliste: L’auteur de ces lignes n’a d’ailleurs eu aucune difficulté à obtenir 50 $ pour un laissez-passer en trop et quelques revendeurs demandaient le même prix pour le combo bracelet-laissez-passer devant l’entrée de la croix du Sacrifice. Un jeune homme qui avait eu la bonne idée de revêtir un t-shirt du Festival d’été pour pratiquer son petit commerce demandait quant à lui 60 $ par laissez-passer.
Wow…
Le journaliste ne dit pas qu’il a fait un test… il dit bien qu’il a obtenu 50$ pour son macaron de trop. Mais la meilleure reste la deuxième phrase, lorsqu’il dit qu’un jeune a eu la bonne idée de revêtir un t-shirt du Festival. Heu allo? C’est INTERDIT et tu trouves que c’est une bonne idée? C’est pas une bonne idée, c’est croche pas à peu près… Nous, travailler pour le Festival, on serait en tab*****
Qu’il y ait du monde qui le fasse, on s’en fout. Mais qu’un journaliste le pratique au lieu de le dénoncer, ça c’est fort….
C’est comme s’il disait : moi,quand je fais Montréal-Québec en char, je roule à 230 km/h tout le long.
Tiens, tiens, encore une question idiote d’un enfant de 5 ans:
– mais Clique, les journalistes ne se font pas donner des billets pour couvrir le Festival?
– oui, supposé!
– pourquoi il revend son macaron qu’il a de trop alors?
– bonne question jeune homme…bonne question!
Commentaire inutile à m’envoyer: un journaliste, c’est aussi un être humain!